Série LAdultère « Nadège » : (Partie 18). Ce NEst Passé QuÀ Deux Doigts.
Je me nomme Nadège, je vais vous raconter par lintermédiaire de lauteur « Perruche » lépisode qui avait failli bouleverser ma vie. Il y avait dix ans de cela, javais 29 ans. Avec Richard, nous nous aimions depuis six ans, jétais heureuse, mon mari était adorable et javais eu la chance de devenir maman depuis un an. Zoé avait changé notre vie de couple, nous avions franchi une nouvelle étape, javais pour ainsi dire, connu quun homme dans ma vie. Malgré notre jeunesse, nous ne sortions plus beaucoup afin de profiter pleinement de notre , même si cela ennuyait Richard qui désirait quelques fois mordre encore la vie à pleine dents.
Sexuellement parlant, même après laccouchement, tous les voyants étaient au vert. Nous faisions l'amour régulièrement et profitions de ces moments intimes pour nous retrouver, nous étions depuis toujours unis comme les deux faces dune même pièce. Pourtant, la veille du mariage de ma cousine Aude, je fis la connaissance du témoin de son futur mari Kévin. Carmine, un jeune trentenaire hyper craquant, aux yeux verts, les cheveux noirs de jais, une bouche bien dessinée, une fossette au menton et surtout un corps dathlète.
Jétais avec les mariés depuis un moment, javais pris les consignes pour le lendemain et je devais aller chercher Zoé chez ma mère. Lorsque Carmine était entré dans la pièce, Kévin fit les présentations, jétais restée sans voix, je navais pu sortir aucun son de ma bouche, jétais scotchée. Avec son regard, posé sur moi, il me déshabillait de la tête aux pieds, je fus très émue et troublée. Jamais personne navait osé poser ses yeux ainsi sur moi avec autant de désir, jeus très peur mais en même temps, jétais fière de pouvoir encore plaire, cela me rappelait que je pouvais séduire. Finalement, j'étais déçue de partir et de ne pas passer plus temps en leur compagnie.
Le lendemain avant la cérémonie, nous nous étions fait la bise comme deux amis mais très vite, étant avec Richard, je ne pouvais pas être très longtemps près de Carmine.
Sauf qu'au moment de la chanson de la chenille, la piste de danse se remplissait, jallais moi aussi rejoindre le groupe pour danser. Quelques places à table sétant libérée, Carmine sinstalla en face de moi. Cétait une évidence, il était beau, de me retrouver seule devant lui, me noua le ventre et me coupait la respiration, je nosais plus parler. On se regardait, javais des papillons dans les yeux, il me complimentait, je ne pouvais lui répondre. Ça me faisait plaisir, mais javais peur, il continuait à me dire que jétais belle que je lui plaisais et sa persévérance avait fini par me troubler.
À la fin de la danse commune, il minvita pour une série de slow, mon mari voulant danser avec moi, me voyant partir sur la piste avec le témoin invita sa voisine. Je fis le maximum afin de ne pas trop coller mon partenaire, mais jaimais son contact, son odeur, ses mains sur mes hanches. Lorsquil me dit à loreille quil avait envie de me faire lamour, je ne pus mempêcher de lui répondre : « Moi aussi ». Nous ne mentions pas, javais ma petite culotte trempée et lui, je ressentais lérection contre mon bas ventre lorsquil se frottait contre moi.
Il était impossible pour moi de coucher avec lui ici même, je lui expliquais quétant mariée, je ne pouvais me libérer, ne serait-ce que trente minutes, mon époux sen apercevrait immédiatement. Dautant plus que Richard narrêtait pas de me suivre des yeux, je lui souriais jaune, jétais bien ennuyée car Carmine était de plus en plus entreprenant, je mouillais de plus en plus, au contact de ses mains posées délicatement sur hanches, glissant discrètement sur mes fesses.
Afin de ne pas me faire remarquer, je retrouvai ma place à table où mon mari sétait installé. Quelques minutes plus tard, il était en pleine discussion sportive avec ses voisins, je savais que dès quil parlait de foot, la conversation pouvait durer des heures. Je profitai de cet instant, je pris mon petit sac à main et en le fixant dans les yeux, je lui fis signe que jallais aux toilettes. Richard me sourit et me fit un petit signe de la tête me signalant quil avait compris. Carmine mattendait encore, dès que je passai dans le passage entre les sanitaires et la salle, il se plaqua à moi et nous nous étions embrassés. Je narrivais pas à me lâcher, je gardais les yeux ouverts pour regarder si quelquun pouvait nous voir.
Je savais que je faisais une bêtise, néanmoins emporter par mes pensées, je mabandonnais dans ce baiser si romantique. Des bruits de talons nous interrompirent, nous avions repris une position face à face comme deux personnes en pleine discussion. La femme était entrée à lintérieur des toilettes, elle allait ment en ressortir. Je décidai donc de retourner à ma table. Carmine mattrapa le bras et mattira à lui, je ne pus faire autrement que de lembrasser de nouveau. Je ressentais ses mains sur toutes les parties, les plus érogènes de mon corps, si je ne métais pas écoutée, je me serais dévêtue sur place et jaurais pris sa verge à pleine main pour la diriger vers mon intimité qui coulait et nattendait que cela, jétais surexcitée.
Cependant, la raison lemporta, et quelques minutes plus tard, jétais assise à ma place ne pouvant suivre aucune conversation, mes pensées étaient ailleurs. Il était une heure et demi lorsque Carmine prit congé, il fit la bise aux époux et à leur famille puis sétait dirigé vers moi sur la piste de danse. Il posa ses mains sur mes épaules et me fit deux bises puis membrassa dans le cou, sans se faire remarquer en me disant à loreille :
Retrouve-moi sur le parking.
Je restais là, sans rien dire le regardant quitter la salle, jattendais quil se retourne mais il avait déjà franchi le seuil de la porte dentrée, lorsque je maperçus que nous navions pas échangé nos numéros de téléphone. Je réalisais que je faisais une bêtise de le laisser partir, javais très envie de le revoir, je me devais de faire quelque chose. Je regardais autour de moi afin dapercevoir mon mari. Enfin je le vis sur la piste avec ses amis, je pris ma décision, je métais éclipsée discrètement, javais descendu les escaliers en courant, les minutes sétaient écoulées et javais peur quil soit déjà parti.
Lorsquil maperçut, il était tout sourire, il mattendait debout, appuyé sur la portière de sa voiture. Il fit les quelques pas vers moi et me prit par les hanches en me déposant un baiser sur mes lèvres :
Je croyais que tu ne viendrais pas. Monte ! Allons à mon hôtel. Me dit-il en ouvrant la portière côté passager.
Jétais une nouvelle fois sans voix, je cherchais le moyen le plus approprié, sans le blessé dans son amour propre en refusant son invitation. Il était impossible pour moi de quitter la fête :
Carmine, je suis mariée, je ne peux pas te suivre, même si jen ai très envie. Je suis venue te donner mon numéro de portable.
Non Nadège Adieu ! Mon avion pour Montréal, décolle demain matin de bonne heure et je ne reviendrai pas de sitôt, je vis là-bas toute lannée.
Il était venu directement vers moi et membrassa, nous nous sommes enlacés puis me poussa délicatement sur le siège, je me laissai faire. Nos langues sortaient de nos bouches se léchant, sa main sur un de mes seins, lautre sous ma robe, deux doigts prenaient possession de mon intimité qui suintait. Pendant que ma main sortait son pénis de son pantalon et le caressait. Javais hâte quil me prenne :
Viens maintenant Carmine, je nen peux plus. Baise-moi.
Il allait retrousser ma robe pour sinsinuer dans mon entrejambe lorsque soudain, jentendis la voix très reconnaissable de Richard mappelant :
Nadège ! Tu es là ?
Je ne pouvais répondre, jeus très peur que mon mari nous surprenne, je repoussai Carmine, métais levée en jetant un coup dil autour de nous.
Quallais-je faire ? Quallais-je lui dire ? Reprenant mes esprits, je fis en sorte de reprendre ma place avant que Richard ne revienne. Je traversai les cuisines, pris le corridor pour rejoindre la salle. Sil me voyait là, il ne pouvait se douter de rien. Lorsquil mavait rejoint, il mavait bien posé la question :
Mais où étais-tu bon Dieu ? Je tai cherché partout ? »
Javais mal au ventre mon chéri, jétais allé à la cuisine mais je nai rien trouvé. Rentrons si tu veux. Je ne me sens pas très bien.
Pour Richard, cétait bien trop tôt pour rentrer, il alla voir la mère de la mariée et me ramena un Doliprane. Mais je navais plus le cur pour faire la fête. Pendant le restant de la soirée, je me revoyais avec Carmine, il ne quittait pas mes pensées. En rentrant, avec la riche nourriture et lalcool quil avait absorbés, Richard nétait plus très en forme. Dès que nous nous étions couchés, tellement excitée par cette folle soirée, javais très envie de faire lamour. Mon mari me refusait rarement mais il mavait gentiment dit quil était crevé.
Je fis le nécessaire, après quelques petites gâteries, de mes doigts et de ma bouche, il avait changé davis. Jétais parvenue à lui faire retrouver la grosseur et la dureté dun sexe digne de ce nom. Je gardai les yeux fermés, toutes mes pensées étaient pour Carmine, cétait lui que je le branlais, que je suçais et lorsque Richard insinua deux doigts dans ma vulve, je pris mon premier orgasme, javais encore ce souvenir de Carmine dans la voiture. Javais excité Richard comme rarement, me voyant jouir aussi vite et aussi fort, il me prit bien plus sauvagement que dhabitude et nous étions tombés dans les bras lun de lautre après mon deuxième orgasme pendant quil se rependait dans mon ventre :
Enfin de compte, je ne regrette pas. Tas été super ma chérie, cétait génial bien plus fort que dhabitude.
Pour moi aussi mon amour. Bonne nuit. Lui répondis-je en lembrassant sur la joue.
Richard ne mavait jamais reparlé de cette soirée, mais je suis certaine quil sétait doué de quelque chose, je savais quil était jaloux, quil avait toujours les yeux pour me chercher. Il avait dû voir le témoin se frotter contre moi lorsque nous dansions, mon absence aux toilettes en même temps que lui mais également lorsquil ne mavait plus vu au moment du départ de Carmine, cela avait dû le rendre très suspicieux. Javais toujours pensé lui en parler, mais je nai pas encore trouvé la force, le courage ou le bon moment. Peut-être ne lui en reparlerais-je jamais.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Nadège vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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